Cet acteur européen 1er producteur mondial d’énergie éolienne…
Iberdrola Renovables, une entreprise spécialisée dans la production, la distribution et la commercialisation d'électricité verte et de gaz naturel.

Fort de plus de 170 ans d'expérience, le groupe Iberdrola Renovables originaire d'Espagne est le premier producteur d'énergie renouvelable en Europe, l'une des cinq plus grandes entreprises d'électricité du monde et le leader mondial de l'énergie éolienne.
Depuis plus de 20 ans, Iberdrola mène une stratégie de croissance durable tournée vers les énergies renouvelables afin de fournir l'énergie la plus propre pour la planète et ainsi faire face aux défis du changement climatique.
Aujourd’hui, deux tiers de ses capacités de production d’électricité en Europe sont verts et n’émettent aucune émission de CO2 (Royaume Uni, France, Allemagne, Grèce, …). Le groupe n’a plus recours au pétrole et sa dernière centrale à charbon située au Royaume Uni a fermé en 2019.
Grand producteur d’énergie dans le secteur du solaire photovoltaïque et surtout de l’éolien terrestre, Iberdrola exploite également trois parcs éoliens en mer (off-shore) en Europe représentant 1,3 gigawatt de capacité installée (puissance équivalente à celle d’un réacteur nucléaire). Cette capacité devrait tripler d’ici 2025 (installation de 2,6 gigawatts supplémentaires) avec l’implantation d’un parc éolien dans la baie de Saint-Brieuc en France (mise en service prévue en 2023) mais aussi aux Etats-Unis et en Allemagne.
Iberdrola dispose aujourd’hui d’une capacité installée de 55 gigawatts dont 35 gigawatts en énergie renouvelable.
Pour atteindre ses objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre, le groupe prévoit de tripler ses capacités d’énergie propre sur les 10 prochaines années et d’atteindre 60 gigawatts en 2025 et 100 gigawatts en 2030. A la fin de la décennie, son portefeuille d’énergie renouvelable devrait se diviser entre l’éolien off-shore à hauteur de 12 GW, l’éolien terrestre et l’énergie solaire. Une répartition qui fait la part belle à l’énergie solaire et à l’éolien terrestre dont l’avenir semble assuré et ce, malgré les réticences et les contestations que peuvent rencontrer ces énergies principalement en France et notamment en politique…
Les énergies renouvelables sont une évidence.
Face aux enjeux de la lutte contre le changement climatique, nous devons tous être impliqués dans le processus d'évolution vers les énergies décarbonées, dont l’une des principales solutions repose sur les énergies renouvelables.
Les énergies renouvelables : chères ou pas chères ?
Sur les derniers appels d’offres, le prix de l’électricité de l’éolien terrestre reste sensiblement aligné à celui du marché de l’électricité, soit 70 euros le MWh (mégawattheure), alors que celui de l’éolien off-shore se situe nettement en dessous, à 44 euros le MWh.
Energie nucléaire vs énergies renouvelables
Aujourd’hui, les débats politiques sur l’énergie ont tendance à opposer le nucléaire et le renouvelable pourtant, rien ne les oppose. Au contraire, ces deux sources de production d’électricité sont plutôt complémentaires et vont coexister dans le mix-énergétique décarboné français futur.
Concernant les différences de coûts, le prix de l’électricité nucléaire en France est totalement artificiel puisqu’il dépend de centrales vieillissantes dont les importants investissements pour leur rénovation ou leur remplacement vont lourdement impacter les tarifs. Les dernières estimations du prix du mégawattheure sur le l’EPR (réacteur pressurisé européen) tournent autour de 120 euros alors qu’un projet d’éolien en mer comme celui de Dunkerque ne coûte que 44 euros le MWh.
Une forte compétitivité des énergies renouvelables.
Avec son mix-énergétique actuel dont les deux tiers sont renouvelables, Iberdrola présente une empreinte carbone (quantité de CO2 par kilowattheure produit) quatre fois inférieure à celle de ses concurrents.
La production d’électricité d’Iberdrola n’est pas totalement renouvelable au niveau mondial mais 100% « verte » dans des pays tels que le Royaume Uni, la France, l’Allemagne, la Grèce …
Iberdrola, premier investisseur au niveau mondial dans les énergies renouvelables
La France, un marché prioritaire pour le groupe
Entre 2020 et 2024, Iberdrola va investir jusqu'à 4 milliards d'euros en France et principalement dans le projet de parc éolien offshore de Saint-Brieuc pour un montant de 2,4 milliards d’euros.
Au niveau mondial, le groupe a lancé un plan d’investissement d’un montant de 75 milliards d’euros à horizon 2025 qui sera poussé à 150 milliards d’euros d’ici 2030.
Iberdrola vise la neutralité carbone d’ici 2030.
Iberdrola, premier groupe émetteur d'obligations vertes au monde
En février 2021, le groupe a émis la plus grosse obligation verte hybride de l'histoire, pour 2 milliards d'euros. La demande enregistrée s’est avérée cinq fois supérieure à l'offre initiale, le signe d’un très fort intérêt de la part du marché. Les fonds levés iront au financement (achat de l’ensemble des composants des fondations et financement de l’installation) des parcs éoliens offshore de Saint-Brieuc (France) et de Baltic Eagle (Allemagne).
En plus de développer l’énergie propre qu’est l’éolien en mer, la concrétisation de ces projets va permettre la création de nombreux emplois durables. Ainsi, 1500 emplois directs et indirects vont être mobilisés en France grâce à la construction du parc éolien de Saint-Brieuc, projet qui, dans le même temps, a déclenché la construction de l’usine éolienne de Siemens Gamesa dans le port du Havre ainsi que le premier investissement industriel sur le polder du port de Brest.
L’électricité « verte », une source d’opportunités en termes d’emplois durables.
Iberdrola, une valeur intégrée en portefeuille par Nicolas Coulon, Gérant crédit ISR chez OFI AM
Iberdrola affiche une performance sur 5 ans de +90% en actions (-15% sur 1 ans).
Cotée en bourse, cette valeur peut se jouer soit en actions, soit en obligations.
Pourquoi financer ce type d’entreprise dans un fonds crédit ?
Le marché obligataire présente une volatilité plus faible que celui des actions. En contrepartie, le rendement offert est forcément moindre. Pour l’Union Européenne, répondre aux enjeux climatiques et atteindre à la neutralité carbone d’ici 2050 implique des investissements de l’ordre de 7 à 8% (transport compris) chaque année sur une durée de 30 ans, soit 1000 milliards d’euros par an environ. Sachant que l’argent public ne profitera pas aux objectifs de l’UE, il est impératif que l’épargne privée soit mobilisée.
Compte tenu des directives européennes sur les fonds d’investissement, Iberdrola est le candidat idéal pour un fonds de transition énergétique. C’est un acteur engagé depuis très longtemps qui investit pour le futur, sa feuille de route validée SBT (Science Based Targets) et son mix-énergétique est très bien positionné avec 60% d’énergie renouvelable.
Pourquoi avoir choisi le format Green-Bonds ?
Ce type de format apporte beaucoup de transparence pour l’investisseur. Tous les montants levés sont vérifiés et relatés dans un reporting. Il faut toutefois rester vigilant car certains émetteurs financent des projets en Green-Bond tout en continuant leurs investissements dans les énergies fossiles (controverses).
En termes de rendement, ça vaut le coup ? ou pas ?
Sur l’obligation la plus « risquée » (subordonnée), qui en cas de défaut n’est pas remboursée de manière prioritaire, le rendement se monte à 2% par an sur un horizon de 10 ans, un montant non négligeable compte tenu du niveau actuel des taux d’intérêt en zone Euro.
Iberdrola se finance aussi bien sur du court ou du long terme que sur du subordonné ou du senior ce qui signifie qu’un gérant peut être investi sur le titre quel que soit le contexte de marché.
Les chiffres des performances citées ont trait aux années écoulées. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures.
Ces placements permettent de profiter du potentiel de performance des marchés financiers en contrepartie d’une certaine prise de risque. Le capital investi et les performances ne sont pas garantis et il existe notamment un risque de perte en capital.